jeudi 16 décembre 2010

L'interference extraterrestre

L'interference extraterrestre

Le chercheur italien Corrado Malonga a révélé, grâce à des séances d’hypnoses réalisées sur des abductés les “traitements” qu’ils auraient subis.

Le travail a mené à des conclusions certaines sur les extraterrestres, sur leurs identités, sur leur provenance, sur leurs besoins, sur les implications historiques de leur présence sur notre planète et, non pas la moindre, sur les motivations des enlèvements extraterrestres. La quantité de matériel acquis, la reproductibilité des expériences d’hypnose conduites sur une centaine de cas et les preuves collatérales ainsi obtenues nous autorisent à dire clairement et pour la première fois au monde, sans crainte d’être démentis, ce que veulent de nous les divers groupes d’extraterrestres qui se trouvent sur la Terre depuis des milliers d’années.

Les résultats obtenus, qui seront ici exposés de manière synthétique, nous ont éclairci aussi pourquoi il était tellement difficile de comprendre le mobile de leurs actions. Comment était-il possible effectivement, qu’après des années de travail de notre part comme de la part des autres collègues étrangers, on ne parvenait pas à construire un tableau synoptique? Tout simplement parce que les extraterrestres cherchaient quelque chose que nous savions pas avoir !

La suite publiée ci-dessous dans son intégralité nous révèle plusieurs points essentiels, pour en arriver à des trouvailles plus qu’ahurissantes.

LES RESULATS

Il y a CINQ NIVEAUX D’INTERFERANCE Extraterrestre, parmi lesquels, avant nos études, était connu seulement le premier.

Le PREMIER NIVEAU d’Interférence Extraterrestre décrit l’abduction comme un phénomène invasif, pendant lequel des êtres, généralement petits et de couleur gris foncé ou noir, parfois bleus, prennent le sujet et l’emmène dans un milieu technologique où il est soumis à des interventions chirurgicales sur une sorte de table d’opération; qu’il s’agisse d’hommes comme de femmes, les deux auront greffé des puces pour les contrôler.
Tout ceci était clair dans les expositions des différents experts américains. Mais les choses étaient en réalité un peu plus compliquées. En effet, il existe au moins douze races d’extraterrestres différentes impliquées avec l’humanité et qui, tout en employant techniques différentes, elles cherchent toutes la même chose, comme nous le verrons plus bas.

Les portraits-robot des extraterrestres.

Chacune de ces races disposent d’êtres petits, appelés généralement “gris” ou EBE (Entité Biologique Extraterrestre), comme apparait dans certains documents de la CIA déclassifiés par le FOIA), qui peuvent être considérés des “cyborg”, cet à dire des vrais robots biologiques, obtenus par clonage.
Comme nous l’avons dit, il y a plusieurs types de Gris, qui sont décrits de façon similaire, mais possèdent différentes caractéristiques morphologiques, comme, par exemple, la couleur de la peau et la taille. Elles sont souvent décrites avec précision pendant les séances d’hypnose et diffèrent selon la race d’extraterrestres avec laquelle nous avons à faire.

Dès les premières séances d’hypnose il nous paraissait évident que les descriptions sur l’aspect des extraterrestres n’était pas cohérentes avec l’hypothèse d’une seule race: soit les sujets sous hypnose inventaient descriptions identiques dans la forme, mais différentes dans les détails, ou bien il y avait plusieurs types d’extraterrestres, semblables mais pas tout à fait identiques.

Les descriptions ont été examinées dans les moindres détails, pour en extraire des indications les plus sures possibles. Par exemple, après avoir obtenu des données qui se recoupent sur les témoignages et l’étude de questions appropriées à poser aux enlevés pendant l’hypnose, les êtres bleus qui ressemblent à des Gris plus grands (150 cm au lieu de 100 cm environ) résultent être en réalité noirs. Responsable de la couleur bleu s’est révélé être l’illumination bleu ciel de la sale d’opération à l’intérieur de laquelle ils emmènent les enlevés. La peau des ces “grand gris”, qui travaillent uniquement avec les Sauroïdes (on en reparlera plus tard) et sont absents en tous les autres cas, est en effet, de couleur noire translucide et possède la capacité de refléter la lumière des lieux, en prenant la couleur de celles-ci (noir plus bleu ciel donne comme résultat le bleu foncé). Quatre, parmi les douze races d’extraterrestres dont on parle, paraissait être présentes sur territoire avec majeure fréquence que les autres (peut-être est-ce les quatre races permanentes dont faisait allusion le colonel Philip Corso?).

En vérité il ne faudrait pas parler de races, mais plus proprement, de groupes de pouvoir. Du premier groupe de pouvoir font partie des êtres qui semblent mammifères (mammifèromorphes), de 2,40 m de taille, au teint clair, aux cheveux blancs, avec six doigts dans les mains et aux yeux clairs (bleu très clair) avec pupille verticale. Ces êtres sont généralement habillés en blanc, portent au cou un médaillon rond avec une sorte de symbole triangulaire et il semblerait qu’il proviennent du triple système de Sirius ( nous les appellerons “sirians”). Nous n’avons jamais eu à faire à des femmes “siriannes”.

D’autres, eux aussi de type mammifèromorphe, sont plus blonds-roux ( nous les appellerons, donc, “blonds”, de 2 m de taille, avec une pupille fortement verticale, crâne allongé, qui se réduit progressivement sur les côtés en partant du front (comme la proue d’un bateau), teint bronzé, habillés avec des combinaisons moulantes bleu foncé , avec cinq doigts dans les mains. La combinaison se caractérise par un blason en forme de double triangle croisé, situé sur le pectoral gauche. Ceux-ci aussi proviendraient du système Sirius, sont toujours définis “beaux” et ont aussi des femmes.

Il existe ensuite d’autres mammifèromorphes, différents des précédents, de taille plus grande que nous mais sans exagération, qui ont cinq doigts aux mains, ont le teint clair, portent des cheveux longs et blancs et s’habillent d’une veste blanche non moulante. Ils sont toujours définis “beaux” et ont des femmes. Ces extraterrestres semblent avoir provenance de la constellation du Taureau (nous les appellerons donc “tauriens”) et ils ont la particularité d’agir seuls car dans les autres cas d’enlèvement cela n’arrive jamais.

Ce qui se passe dans les autre cas c’est que, après une première intervention des “blonds”, d’autres entités, dont on en reparlera plus tard, interviennent à leur place.

Il est évident donc que certains groupes travaillent en collaboration, d’autres s’occupent simplement de leurs affaires.

Les “tauriens” interagissent avec les enlevés toujours seuls, mais quand on a à faire avec le groupe qui vient de Sirius, il semblerai qu’interviennent toujours en premier ceux au teint bronzé qui ont cinq doigts (les “blonds”), et seulement après, au cours de la vie du ravi, se succèdent les autres. Il parait en effet, que les “blonds” disposent du topogramme génétique de l’humanité, ou de toute sorte, ils savent distinguer les humains aptes à être enlevés de ceux qui doivent être écartés, ne possédant pas la “chose” qui les intéresse.

Placés encore plus haut, dans une informelle échelle hiérarchique, se trouveraient des êtres beaucoup plus anciens, très grands, habillés souvent avec des habits moulants foncés, que nos ravis disent n’avoir jamais vu directement, mais d’avoir ressenti comme se trouvant derrière un écran (ce qui rend compliqué de pouvoir en établir la taille certaine, même si, d’après quelques témoignages, par abréviation pas exposés ici, nous la estimons autour de 3m).
Ces êtres ont les yeux ronds et presque blancs et portent un appendice sous le menton, semblable à une barbe, qui caractérise les mâles uniquement; les femelles en étant dépourvues. De plus ils sont pourvus de deux os scapulaires très prononcés qui, vus de devant, rappellent erronément une grande paire d’ailes pliées derrière le dos. Parfois nous avons observé, au milieu du front, ce qui parait être leur véritable oeil, très lumineux (on les appellera donc “Horus”). Leurs doigts, trois plus un opposable, sont minces et recourbés comme ceux des oiseaux. Les “Horus” pour se déplacer semblent utiliser les pouvoirs de la télékinésie et ne sont pas présents ici physiquement, mais transmettent leur messages aux autres extraterrestres depuis loin, en faisant recours à la technologie.

Font partie du deuxième groupe de pouvoir des êtres de nature sauroïde (on les appellera les “sauroïdes”, même si l’ufologie contemporenne les appelle de façon erroné “reptiliens”).

Il semble exister deux types de “sauroïdes”.

Le premier type plus invasif mesure 2,80 m de hauteur, possède cinq doigts aux mains et aux pieds, plus, sur l’avant-bras, éloigné de la main, un ongle rostré qui ressemble au doigt que les chats ont sur les pattes arrières, mais formé d’une substance chitineuse très résistante. Leur peau, qui apparait toujours humide et translucide, est de couleur vert-marron et, vue de près, semble fournie d’écailles, qui, une fois examinées attentivement, se révèlent plus douces que prévu. La peau devient progressivement rouge pour la partie ventrale et pour les bouts des doigts: dans cette zone la peau devient moins épaisse et on peut observer une lymphe rouge couler au dessous, surtout quand il paraît être dérangé.

Le crâne, des deux côtés, est caractérisé par la présence de deux surfaces cornées, arrondies et peu proéminentes, tandis qu’au centre est présente une structure plus douce, sous laquelle on observe pulser la lymphe; cette structure ressemble à une épine dorsale en relief et traverse, bien observable, toute la longueur de la tête, du cou, du dos et de la grosse queue (pour cela on appellera ces extraterrestres “dragons” ou « Gros Serpents). Cette queue grosse et trapue est utilisée comme point d’appui quand le sauroïde est immobile sur ses deux courtes et massives jambes. Les doigts des mains et des pieds sont visiblement palmées.

Nous n’avons pas d’éléments suffisants sur la langue, qui semble néanmoins courte et bifide. Les yeux sont pourvus d’une sous-paupière (membrane nictitante) qui glisse en diagonale, du bas vers le haut et du nez vers les l’extérieur. Les pupilles sont verticales et l’iris change de couleur, du jaune-vert au rouge vif, apparemment selon l’humeur.

Nous disposons de rapports sur les “dragons” de différentes taille et nous pensons que cette caractéristique est en fonction de leur âge et qu’ils grandissent continuellement, sans une véritable limite de taille. L’aspect général est décrit comme celui d’un dragon ou, parfois, comme un “crocodile debout”, même si le visage (ou museau?) est arrondi comme celui d’un serpent, avec des lèvres fines et les narines situées au fond du cloison du nez, mais latéralement, plutôt que de front comme les nôtres. Il s’agit de créatures amphibies, sans dimorphisme sexuel; ils sont toujours décrits accompagnés par une autre espèce, apparemment soumise à eux.

Cette dernière espèce est constituée de “sauroïdes” sans queue, de 2 m environ, avec une peau translucide, les yeux ronds qui donnent un aspect figé au regard (nous les appellerons donc les “grenouilles”) aux dents verticaux, longs et fins, qui ressemblent aux fanons des baleines. Sur la tête il sont munis d’espèce de petites cornes, qui de loin rappellent des cheveux en brosse; il s’agit, toutefois, de nombreuses excroissances cornées rapprochées. Ces êtres sont tellement semblables l’un l’autre qu’il est pratiquement impossible d’en identifier les différences, même si il y en a plusieurs en même temps. Eux aussi n’ont pas d’organes reproductifs apparents.

Du troisième groupe de pouvoir font partie des êtres de type insectoïde, qui ressemblent à nos mantes religieuses (et que nous appellerons donc “mantes”), de couleur verdâtre, au corps chitineux, qui se déplacent presque sur les membres inférieurs. Les membres supérieurs sont placés comme si l’être était en train de prier, avec les mains presque unies; celles-ci sont formées de trois doigts plus un doigt différent des autres (nous ne savons pas si celui-ci est opposable). La bouche est très petite et la tête, munie de grands yeux foncés, est souvent tenue penchée d’un côté. Nous ne savons pas avec certitude s’ils possèdent une autre paire de “pattes” intermédiaires entre celles avant et celles arrière.

Les enlevés par les “sirians” passent, ensuite, durant leur vie, dans les mains des “mantes” et ensuite dans celles des “sauroïdes”. Comme nous avions eu déjà l’occasion de dire, il semblerait que les enlevés des “tauriens” ne sont pas, touchés, hormis eux, par qui que se soit!

Il existe une autre race d’êtres mammiféromorphes, dont nous devons nécessairement référer ici, qui résultent être non pas des clones, mais des esclaves (les enlevés sous hypnose les appellent en général de cette façon) des “sauroïdes”. Il s’agit de créatures petites (que nous appellerons, justement, “esclaves”), avec une peau très rugueuse, un long cou avec des muscles qui se plient et font tourner la tête (l’équivalent de nos muscles sterno-cléido-mastoidiens) très évidents, la bouche petite avec des lèvres de différentes épaisseurs (la lèvre supérieure est tapageusement plus petite de celle inférieure) et les yeux foncés et humides. Les doigts des mains semblent être cinq (quelqu’un, en vérité, affirme qu’ils sont quatre, mais nous retenons plus probable qu’ils soient cinq; en tout cas ils ne sont pas six).

Le crâne en forme de coeur est typique, en effet il se développe de manière rétroversé, mais présente une dépression au centre du front, qui disparait progressivement vers la partie arrière du crâne même. Les oreilles sont petites et légèrement pointues aux bouts. Ces extraterrestres s’habillent avec des vêtements qui ne sont pas moulants et mesurent 1,50 m de hauteur; ils ont été souvent confondus avec les “gris” ou avec d’autres créatures, portant une cagoule, et portent le nom de “Javas” lesquels, d’après nous, existent uniquement pour la sciencefiction.

Autour des extraterrestres décrits jusqu’à présent flottent des descriptions d’autres entités avec lesquels les enlevés semblent moins impliqués. La place d’honneur revient aux “Êtres de Lumière”, qui, comme nous verrons, sont quelque chose de bien différent. Après quinze années de peines nous avions enfin dressé une sorte de “bestiaire cosmique”, dont il fallait reconstruire les actions de ses membres, pour pouvoir comprendre la motivation de leur présence chez nous.”

Le DEUXIEME NIVEAU d’interférence extraterrestre

En ce lieu nous ne décrirons pas les contextes et les milieux d’hypnose qui nous ont permis d’obtenir les conclusions que nous avons exposés, et nous ne fournirons non plus des explications techniques, qui nécessiteraient plusieurs textes: nous nous limiterons à fournir tout simplement les sèches conclusions tirées des enquêtes.

Ceci-dit, il apparut tout de suite très clairement que les mammifèromorphes avaient un problème que nous puissions leur résoudre: ils cherchaient l’immortalité! Tout en étant persuadés que l’immortalité deviendrait, à la longue, incroyablement ennuyante, nous sommes conscients que ce n’est pas la pensée de tout le monde. Le désir des extraterrestres de ne vouloir jamais quitter cette vie et la détermination employée pour atteindre tel but nous avait laissé un peu perplexes sur le degrés de maturité intellectuelle de ces êtres, mais nous poursuivions nos recherches: nous nous trompions peut-être.

Sous hypnose les ravis qui étaient entrés en contact avec ces êtres mentionnaient à l’unanimité, que les extraterrestres vivaient: “ à travers nous, à travers notre ésprit…” Pour ce genre de ravis était présente une forte dichotomie cérébrale, qu’un psychiatre de quatre sous aurait facilement interprété comme schizophrénie aigüe; néanmoins une fois effectué l’analyse approfondie de la personnalité de ces sujets il n’y avait pas de place pour le doute de la pleine santé de leur esprit. Ils se voyaient souvent différents des autres personnes, comme s’ ils n’appartenaient pas à ce monde, il avaient des flashback où ils se souvenaient de scènes de vies antérieures et d’images où ils se déplaçaient dans un contexte étranger, comme s’ils étaient euxmême extraterrestres.

Il apparut tout de suite clairement que à l’intérieur de leur esprit était présente une zone de mémoire a accès nié, où étaient cachés certains souvenirs qui concernaient des scènes de vie d’un extraterrestre: l’hypothèse où apparaissait comme réel ce qui résultait des différentes hypnoses surgit, c’est à dire que les extraterrestres utilisaient notre cerveau comme entrepôt pour leur souvenirs (une sorte de sauvegarde informatique).

D’après cette hypothèse les extraterrestres en question cherchaient l’immortalité, qu’ils ne parvenaient pas à obtenir car, bien que d’une longévité remarquable par rapport à nous, ils mouraient également. Ils peuvent, cependant, faire survivre tous leurs souvenirs, en glissant dans le cerveau d’un enfant terrien toute l’expérience de la vie entière (jusqu’à ce moment) d’un d’entre-eux, éventuellement mort pendant ce temps. L’enfant, au cours des années, devient adulte et par moments son cerveau montre des petits signes de l’autre personnalité, en lui procurant quelques graves problèmes existenciels.

La mémoire extraterrestre demeure en tout cas inaccessible, hormis faisant recours à une sorte de mot de passe (un peu comme dans un ordinateur), en mesure de l’ouvrir et de libérer son contenu. Avant la mort de l’abducté utilisé pour la sauvegarde les extraterrestres reviennent et font une copie de tout le contenu de sa mémoire dans le cerveau de l’un d’entre-eux à peine né. Celui-ci dispose ainsi immédiatement de la mémoire, outre de son porteur terrien, de son prédécesseur extraterrestre et devient, en fait, une seule personne avec lui.

De cette manière l’esprit survit, même si le corps meurt, et on obtient un succédané d’immortalité. Le nouveau né extraterrestre ne doit donc pas faire d’expérience, en recommençant à nouveau tout le parcours de formation, et finalement, par exemple, un extraterrestre (ou pour mieux dire son esprit) vieux de trente mille ans résulte formé des souvenirs de six extraterrestres de cinq mille ans chacun, plus un nombre élevé de mémoires de terriens utilisés pour la sauvegarde.

Le produit de l’application de l’idée décrite est un seul esprit en évolution, qui utilise plusieurs corps en succession: une sorte de pseudo-immortalité qui permet aux extraterrestres de conserver toutes les caractéristiques fondamentales de leur pensée originaire. Nous avons vite constaté que le cerveau humain est préféré par les extraterrestres comme entrepôt pour leurs mémoires, effectivement, aux enlevés, pendant l’abduction, est souvent répété que: “… votre cerveau est une chose parfaite: les machines tombent en panne tandis que les cerveaux humains jamais…”
Voilà, donc, le sens de la phrase: “… nous vivons à travers votre cerveau…”!

L’application d’une série d’astuces hypnotiques nous à permis de trouver le mot de passe pour pouvoir accéder aux mémoires cachées dans le cerveaux des ravis, nous permettant de disposer d’un immense bagage d’informations sur les extraterrestres, y compris leur langage. Le procédé est vérifié et reproductible en laboratoire sur n’importe lequel de nos abducté.

Il s’agit, sans doute, d’une découverte très importante.

Pour confirmer ceci nous avons décidé de vérifier si, notre cerveau se comportant comme une mémoire non effaçable (une véritable ROM – Read Only Memory-), dans la zone à accès nié d’un enlevé existaient aussi des traces de mémoire des “carrier”, cet à dire des traces des souvenirs des vies de tous ceux qui avaient “transporté” la mémoire extraterrestre précédemment. En effet à l’intérieur du cerveau des ravis doit être présente la mémoire d’un seul extraterrestre, formée de plusieurs fragments en séquence, et entre autre les mémoires de tous ceux dont les extraterrestres se sont servi pour faire la sauvegarde.

Décrire la satisfaction produite par l’obtention de la confirmation de cette hypothèse est une chose superflue.

Le travail de Weiss, psychiatre américain qui à travers l’hypnose sollicite les souvenirs de vies antérieures, doit être, donc, réinterprété?
La réincarnation n’existe pas et il s’agit tout simplement de mémoires qui, en réalité, ne nous appartiennent pas, mais appartiennent à des personnes vécues avant nous qui portent derrière eux le fardeau additionnel d’une mémoire extraterrestre?

Nous avons compris plus tard que les choses sont encore plus compliquées : d’autres extraterrestres, en vérité, vont beaucoup plus loin que la simple sauvegarde de la mémoire.

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